Horohoro Aïnou Ûdo [validé]

Nom: Aïnou Ûdo
Prénom: Horohoro

Âge: 19 ans
Taille: 1m85
Poids: 63 Kilo

Histoire:Horohoro est un garcon à la nature plutôt calme et discret ne se fessant que rarement remarqué en publique. Il appartient à la trib des Aïnou originaire de Kiri et possède la traditionel coloration bleu, en effet ses cheveux sont bleu clair symbole de l'eau qui est l'élement principal de son peuple. Horo à le visage encore jeune , il vient a peine d'avoir sa majorité et sa peau est encore jeune et le rajeuni énormement , certain le prenne pour un enfan de pas plus de quinze ans mais cela lui donne un aventage considèrable. Notre jeune Shinobi porte comme affaire de combat ceux de sa tribu, les Aïnou , il s'agit d'un bandeau noir et bleu avec des symboles fessant pensaient à des ignes tribaux et des affaires identiques . Pour finir , Horohoro est de taille moyenne et possède un regard mystérieux d'un bleu pâle océan et porte à ses deux majeurs de chaque main une bague jumelle symbole de sa tribu avec beaucoup de secrets ...

Le jeune Aïnou était avant un jeune homme énergique et profitnt plainement de la vie mais un malheur frappa sa tribu ... depuis se jour Horohoro n'est plus du tout le même, il est renfermé sur lui même ne parle à personne et ne montre pas ses réels sentiments sauf à de très rare personne dont celui qu'il considère comme son maître spirituel , Yosuke Fumi . Le jeune homme est une ombre ambulante remplie de haine et qui n'a plus consience de rien et surtout détestant plus que tout les villages Shinobis ...


La légendaire tribu Pache Aïnou …

Une légende raconte que du temps ancien de Tor, dieu scandinave, il laissa sur terre son marteau géant qui avait des pouvoirs hors du comment … On raconte que dans ce marteau, orné de signes tribaux étranges on raconte que le marteau possédé deux forces de la nature, deux éléments spirituel l’imprégner dont un qui était l’esprit du Dieu lui-même …
Ainsi, la légende celtique raconte que dans se marteau se trouvait la puissance du métal ou kinton nécessaire pour crée des armes d’une puissance jamais égalé et un élément naturel qui n’était que le symbole de Tor lui-même, la glace ou aussi appeler le Hyouton … Mais tout cela n’était qu’une légende, légende je dis ? Peut être pas … Car l’ancestrale tribu Pache qui avait une dynastie depuis plus de trois siècles sous le nom de l’Aïnou avait hériter de ses deux fondateurs principaux, Yong et sa femme Yu le pouvoir de Hyouton … Comment ? on raconte, et je dis bien on raconte, que par un hiver des plus rude, Yong le chef du village Pache alla devant l’Antiquité qu’était le marteau et réussi à fende l’épée, juste un éclat et fit forger deux bagues unique avec dedans l’âme de Tor et le pouvoir céleste de la glace Antique, une pour sa personne et l’autre pour sa femme … L’hiver rude disparut par la maîtrise de l’hyouton et depuis lors la Tribu Pache Aïnou avait hériter de ce pouvoir dans son sang et les bagues avaient disparut …



La disgrâce d’un peuple

Dans un coin reculer d’une grande ville shinobi se trouvait la forêt de Bahü , la habiter la légendaire et héréditaire tribu Pache Aïnou ! Ils vivaient comme des nomades dans des tantes et mangeant principalement du poissons , d’habitude , ce peuple reculé du monde vivait sur les plaines de neiges des montagnes près du village de Natsuka, petit village situer sur des valais entre les montagnes, c’est la qu’aurait été trouver le marteau de Tor mais le Chef de la tribu avait passer un accord avec le Mizukage de Kiri, si les Paches devenaient Shinobi de Kiri, le Mizukage devait s’engager à leur donner des privilèges , un traiter fut ainsi signer par le sang, ce grand chef Pache n’était autre que le père de Horohoro Aïnou Ûdo , Apöchiko Aïnou Ûdo , cet homme était vraiment impressionnant notamment par sa taille géante, il mesurait plus de 2 mètre 5 et cela avait pour habitude d’effrayé la plupart de ses adversaire, de plus , Apöchiko avait un physique d’homme des bois, grand , musclé et barbu ( le genre Chabal xD ) et la tribu Pache s’installa là … Dans la forêt qui bordait Kiri mais se que personne ne savait était que le Mizukage était une personne fourbe … Je préfère laisser place au descendant de la tribu, il sera la compter mieux que moi …


Aujourd’hui nous sommes le 2 Octobre ! je le sais car c’est mon anniversaire, je viens d’avoir dix sept ans et ma sœur cadette, mon unique sœur est partit chercher mon cadeau dans les bois , ne me demander pas pourquoi je ne saurais vous le dire , elle est vraiment bizarre parfois Pilika ! Pilika est son prénom vous avez dû le comprendre, elle a deux ans de moins que moi et me ressemble un peu, je dis bien un peu ! Elle fait la même taille que moi, j’arrive aux épaules de mon père c’est pour dire , et elle a de longs cheveux bleu clair comme le veux la tradition familial ornée d’un bandeau aux mêmes signes anciens que le mien . Pilika est une personne sensible mais autoritaire par moment, elle me prend défois pour un enfant, mais je ne peux pas lui en vouloir, maman me répète sans cesse que c’est par qu’elle m’aime, quelle chance ! Vraiment …
J’étais donc tranquillement assit dans ma tante à lire un parchemin expliquant comment attraper un ours avec une seule main quand mon père fit irruption dans ma chambre en tenu de combat, je le dévisagea sur le coup mais demandant se qu’il me voulait mais je le savais parfaitement , il allait encore vouloir m’apprendre à maîtriser le Dôjutsu familial , je n’arrivais pas à le maîtriser ni même à le faire apparaître, notre Dôjutsu se nommée , Le Shokei Tor , ou la punition de Tor , cet œil donnait un pouvoir unique ! Celui de maîtriser parfaitement la branche de la nature de la Glace ! A savoir une maîtrise parfaite de l’affinité Hyouton si nous parlions dans le langage shinobi se que je n’aimais guère. Le Shokei Tor était une fierté de notre tribu, quand les Paches l’utilisaient, leur pupile devenait noir et un sine aparaisser dedans, ce signe était le seau de Tor lui-même !




Mon père voulait que je le maîtrise, je devais être obliger ordre du Mizukage, mais je n’aimais pas être un ninja, et dans un ultime soupire je m’étais levé et partit avec lui m’entraîner …
Dans une grande vallée je réfléchissais après tout … La vie était éphémère non ? Alors pourquoi devenir un ninja ? Hein pourquoi ? J’étais un Aïnou et non un shinobi ! Mais le traité m’obliger à être se que je refusais, moi je voulais aimer la vie même si … Je savais que le temps était assassin et qu’il emportait avec lui mes rires enfantins alors j’aurai voulu que pour mon anniversaire mon père me parle de ma tribu et de nos coutumes mais non ! Il m’obliger à m’entraîner pour qu’a met dix huis ans je sois digne de recevoir le bandeau de Kiri que je ne voulais pas !
Allonger dans l’herbe fraîche je souriais fixant inlassablement le ciel … Les nuages bleus, aujourd’hui il ne pleuvait pas sur Kiri c’était étonnant, je pensais que c’était peut être Tor qui avait demandé a sa sœur Altika d’empêcher la pluie de s’abattre sur nous pour mon jour de gloire, mais un sourire disparut quand je vis sur le visage de mon père le déshonore de ne pas m’entraîner avec le Shokei Tor, il ne comprenait pas ! Pourtant je lui avais déjà tant de fois expliquer ! Je ne voulais pas que mon pouvoir qui vient de mon sang ! De ma patrie ne devienne qu’un jouet au sein de l’armée de Kiri … Parfois je me remémoré les plaines enneigés de Natsuka, la neige me manque et l’odeur des sapins fraît aussi mais je sais qu’on ne pourra y retournait … Lentement je m’étais levé et été rentrer dans ma tante, je fus surpris de revoir ma sœur Pilika avec un objet en bois, elle me le tendit et je vis que ses douces pommettes avaient prit un teint rougeâtre, les mains ouvertes j’analysa l’ojbet en question et mes yeux s’ouvrirent , l’objet était finement tailler avec du bois de sapin, l’odeur me remonta au nez , sur cet objet il y avait d’incruster mon prénom et mon nom, mes doigts passèrent dessus et un sourire s’afficha alors sur mes lèvres glacial avant que mon regard se reposa sur ma sœur qui souriait à son tour , c’était un Ikupasi





L’objet était le symbole et le lien entre les hommes et la nature, surprise ? Ma sœur le fit quand je la pris contre moi, mais la plus grande surprise était cette goutte d’eau qui coulait sur ma joue provenant de mon œil …


La traîtrise du Mizukage


Une semaine après mon anniversaire, mon père avait eu un rendez vous avec le Mizukage, celui la ! Je ne pouvais vraiment pas le voir ! Un fourbe ! Je le sentais très bien, derrière ses petits yeux de fouines et son air pincé ! Grrrrr mais se ne fut que le soir, quand avec ma mère et ma sœur nous mangions autour du feu de la graisse de la baleine sous les étoiles que nous avions vue notre père revenir avec plusieurs hommes de la tribu, mon père avait l’air grave, une mauvaise nouvelle allait tomber je le savais parfaitement ! Ma mère, elle était grande, de long cheveux bleu clair comme ma sœur avait des yeux si bleu que je me noyais dedans et dedans le ciel bleu s’y refletait aussi, elle était très sensible et parfois je me disais que ma sœur tenait d’elle, quand mon père arriva devant nous sans un mot, elle laissa tomber sa serviette et le prit contre elle et d’un ton ferme, tout les gens de la tribu l’entendit prononcer des mots qui résonne encore dans ma tête


« Nous sommes en guerre ! «


Ma mère s’effrondra en larme contre l’épaule de mon père, ma sœur rentra dans la tante sans un mot, et moi … Devant le feu qui crépitait sous mes yeux et se reflétait dans mon regard glacial je me demandais tout simplement se que cela allait impliquer même si je le savais déjà … Mon père allait prendre par à la guerre, le Mizuage était en guerre contre le village de Tsuki, village de la Lune et éternel rival de Kiri, ainsi donc, mon père allait prendre avec lui l’armé des Aïnou constituait de tout les hommes de plus de dix huit ans et partir sur le champs de bataille et lui, le Mizukage s’en fichait éperdument ! Il allait être la dans son trône à manger du porc pendant que mon père et les miens risquaient leur vie pour son village ! Et moi ? J’avais moins de dix huit ans j’étais forcer de resté à la maison avec maman et Pilika, mon impuissance me donnait la nausée et comme un feu qui s’éteignait d’une grande lenteur, mon impuissance quand à elle grandissait lentement …
Comme je l’avais prévu, le lendemain mon père rassembla ses affaires avec celles des hommes adultes de la tribu, j’étais adossé à un arbre et regardait la scène serrant dans ma main mon Ikupasi …
Les jours passèrent me semblant long de plus en plus long, j’étais la encore allonger dans l’herbe j’aimais tellement sa, resté au calme et observait la nature et me laissant bercé par le chant mélodieux des brises de vents, chacune différentes de l’autre mais se silence fut de courte durée quand j’entendis le cor de Kiri retentir fermement, le cor annonçait que des gens importants revenaient et d’un bon d’excitation et de joie je m’étais mis à courir dans la vallée pour me rende à Kiri, papa revenait après un mois entier d’absence j’en étais sûr ! Pilika m’appela au loin en courant, un sourire apparut sur mon visage et ma main dans la sienne, nos doigts entremêlaient dans celui de l’autre, nous avons courut ensemble aux portes principales du visage, portes très laides et peu original je trouvais, de grandes portes simplistes en métal et assez épaisse bref pas très belle. Ainsi nous nous sommes retrouver devant la grande porte de Kiri, une foule de villageois se trouvaient aussi la et quand la porte s’ouvrit suivit d’un grincement sourd, je pensais trouver mon père sur un cheval blanc, s’instillant de gloire et heureux de brandir le katana des Aïnou mais je ne trouva rien ! Après plusieurs instants, un bruit rythmique se fit entendre, comme des sabots, effectivement un cheval arriva, énervé car je ne voyais rien de ma place, je me suis faufilé au travers des gens pour finir au premier rang suivie de Pilika mais ma joie disparut aussitôt … C’était bien mon père oui mais traînait par un cheval, blessé et en sang qui rentrait au village , passant devant nu je resta figé comme ma sœur qui elle, mit une main devant sa bouche pour s’empêcher d’hurler, le cheval s’arrêta et mon père fut transporté, je pensais qu’il allait être transporter dans l’hôpital mais non ! Les shinobis de Kiri l’emmenaient sur la place principal là ou se dressé une potence ! Je vis alors le Mizukage, un sourire horrible et laid sur le visage, on plaça autour du cou de mon père une corde et un bourreau s’avança près à pende mon père, je retins ma sœur qui hurlait d’arrêter et lui mit ma main devant sa bouche, dans des étouffements et gémissements elle luttait contre moi, mais j’étais plus fort qu’elle … Mon père releva le visage, son visage était en sang, le nez cassé et de multiples balafres étaient désormais décu mais son regard était toujours aussi ferme et plein de fierté et d’honneur ! Alors que le bourreau allait tendre le manche pour que mon père soit pendu le Mizukage s’avança je ne comprenais pas mais j’avais bel et bien un mauvais, très mauvais pressentiment, et alors il prit la parole, avec sa voix aïgu et horriblement méchante ! Disant que mon père était un traite comme notre tribu et que désormais tout ceux appartenant à la tribu Pache Aïnou seront pendu ! Mes yeux s’ouvrirent d’un coup par la stupeur, j’avais même reculer d’un pas par la frayeur des propos que mes oreilles venaient d’entendre … Se traîte de Mizukage avait envoyé mon père et mes frères de patrie à l’abattoir ! Et la avant que le Mizukage n’appuy sur le manche pour tuer mon père en publique, lui qui avait les mains ligotaient dans le dos, sa voix rauque d’homme barbu résonna et le chant Aïnou s’éleva dans les airs et un dialecte en langue Aïnou que seul ma sœur et moi comprenions arriva à nous puis quand mon père se tut je savais se qu’il restait à faire, allait au temple Pache que mon père avait dit dans son unique requiem, le Mizukage horrifier pendit mon père sous mes yeux, je cacha instinctivement ceux de ma sœur par ma main et ferma les miens en courant loin, par chance personne ne nous reconnu . Courant par haine j’avais compris les dernières volontiers de mon père, il avait voulut que une personne de la tribu qui était les seuls a comprendre le Pache, ancienne langue oublier, aille aux temple Pache dans la forêt et casse le mur de gauche du première étage à dix mètre pour trouver l’héritage Pache ! Tel était sa dernière volonter …..






Teste rp (20 ligne minimum): je ne comprends pas la ^^'

Rang souhaité: Bras droit du chef de l'Akatsuki
Votre ou vos affinité(s): Suiton et Hyouton
Autres: Un Dôjutsu spécial , le Shokei Tor permettant une parfaite maîtrise de mon affinité Hyouton

Ryos: 1000

Le pouvoir de Tor


Pilika s’arracha de mes bras en pleure, je voulais la réconforter mais je ne sais pas pourquoi je n’arrivais pas à pleurer, mes poings serraient et le mur perpendiculaire à moi, je donna un coup violent dans le mur avec mon poing droit serré, les jointures de mes poings saigner à flots et ma peau des doigts était totalement râper, j’expliqua à ma sœur que nous devions aller de suite au temple, mais elle avait peur, sa se comprenait, on avait tous peur mais la se trouvait le choix impossible à faire ! On savait que les shinobi de Kiri allaient attaquer notre tribu dans les bois garder seulement par les femmes, les sages du village et les enfants, ils allaient tout détruire … Soit nous allions les prévenir et les sauver tant bien que mal , soit nous allions au temple trouvait le secret, Pilika resta songueuse mais savait que le temps jouait contre nous alors, le regard droit dans les yeux, nous sommes partit en courant avec les forces qui nous resté au temple Pache, après tout, nous ne pouvons pas défendre notre tribu sans des pouvoirs suffisamments forts et les pouvoirs héréditaires de la tribu pouvait sauver notre peuple ! Pilika et moi même le savions parfaitement, c'est pourquoi nous courions, comme si nous voulions danser sur des l'âme de vent pour aller encore plus vite ! Au bout de plusieurs minutes, heures peut être qui sait, car nous étions fort épuiser ... Nous étions assit, a souffler, les poumons battants comme le coeur en chamade devant le temple Pache Aïnou que notre père et les siens avaient construits de leur main ! Un temple en forme de simple dôjo pour pas que le Mizukage ne se doute de quelque chose, et vite nous nous sommes levé, Pilika tenant ma main fermement, elle avait peur je le voyais bien, dans son regard ... Elle avait peur, une peur affreuse que seul moi pouvait apaisser un temps soit peu. Nous sommes rentrer dans le temple, on aurait vraiment dit un Dôjo, comme seul lumière, les rayons du soleils qui transpercer les vitres argentés et quelques bougies. Nous avons cherché l'emplacement de l'héritage le plus rapidement possible sans savoir sur quoi nous allions tomber mais Pilika fut la première à trouver une boîte en bois, taillé même par nos ancestres certainement, elle la sortit, la boîte était lourde fait en bois de sapin et je pus sentir l'odeur de mon pays natal, Pilika était née à Kiri hélas mais moi non, et tout cela m'avait profondement marqué, mais on ne pouvait attendre ! Nous étions les derniers espoirs du village ...

Entre la tristesse par la mort de papa, la haine par Kiri et la peur de notre jeune âge. J'ouvris la boîte dans le plus grand silence où seul la pluie qui commençer à s'abattre sur la région tombant sur les feuillages résonnaient ainsi que les gouttes d'eau lourdes sur le toit, mais la fut la surprise de trouver deux écrins, on n'en prit un chacun, nos regards bleux se croisèrent et on ouvrit les écrins, la surprise fut énorme tellement que je fus resté sans voix ! Nous avions entre nous mains , les fameuses bagues de Tor, les bagues de Yu et Yong les fondateurs des Aïnou ... Ces bagues aux inimaginables étaient donc la ! Entre la paume de nos mains mais très vite ma soeur me rappela l'importance de notre mission et on a courut dehors mais ... Nous nous sommes retrouver encerclé par des shinobis ... Une cinquantaine de ninjas de Kiri se dressait devant nous désormais, je pris la main de ma soeur et regarda avec une angoisse énorme autour de nous, je fus alors frapper de stupeur en voyant les katanas, kunaïs et shurikens des ninjas tachés et dégoulinant de sang ! J'avais compris alors que mon peuple avait été décimer ... Par eux ! Et la le Mizukage apparut toujours avec se même petit sourir narquois que je lui aurais arracher et greffer loin de moi ! loin de Pilika et de nous ! Mais il était belle et ien trop tard, je me résignais temps bien que mal à me dire que c'était la fin ... Les Paches Aïnou allaient bel et bien disparaître avec nous deux mais Pilika devait avoir compris que maman, nos amis et tout ceux de la tribu n'étaient plus de se monde mais elle refusa d'abandonner quand le Mizukage nous proposa de nous rendre et de mourir sans souffrir, elle se mit enface de lui et le giffla mais meêm si cet homme était un traite ! Une ordure ! Il restait toute fois un ninja de talent et arrêta sans problème sa main ... Il donna ensuite l'ordre de m'excécuter ! Et en quelques instants, ma vie défila devant mes yeux, j'avais dix sept ans, j'étais Horohoro Aïnou Ûdo du peuple des Paches Aïnou, le fils du chef des Paches et détenteur du pouvoir de Yu et Yong les fondateurs de la tribu mais surtout, une cible ... En effet plus de milles shurikens de toutes tailles allaient me transpercer je ne pouvais rien faire ... Mais un mur entier de glace et d'une très haute hauteur s'était soudainement former autour de moi, je pouvais juste apercevoir un chakra d'une puissance extraordinaire venant du Mizukage ou plutôt d'à coté de lui, le chakra de ma soeur ! Venant de la bague de Yu qu'elle avait mit à son majeur gauche et les armes ninjas s'écrasèrent contr les parois glacer du mur s'en passait au travers. Pilika me rejoignit rapidement, le Mizukage l'avait lacher tellement surprit par l'intensité de la puissance si soudaine de son chakra ! Ma main dans la sienne, elle était collait a moi, et m'avait redonner envie de me battre j'enfila la bague de Yong a mon majeur droit et sentit une grande puissance en moi m'envahir, ma soeur me soutenu, vraiment, si elle n'était pas ma soeur, je suis sur que j'aurai été amoureux d'elle, car si je suis fou c'est de ses yeux car ils ont l'avantage d'être deux, deux yeux, comme la mer et l'océan , comme Yu et Yong nous allons défendre la patrie Pache !
...
Je m'étais peut être fais un peu trop d'espoir qui sais, après tout, nous n'avions aucune expérience en matière de combat ... Le Mizukage lui si .. Et il nous envoyé un katana ensorcelé qui réussi à traverser le mur, sa vitesse de tir était tel que je ne le vis pas arriver sur moi pour me frapper en plein coeur, j'y juste le temps de fermé les yeux ... Je n'osais pas les réveiller, la main de Pilika m'avait lacher, du sang ruisselait sur mon visage mais bizarrement je ne ressentais aucune douleur, peut étais-je au paradis ? Je m'étais décider à ouvrir les yeux et la ... Je n'avais rien, mais ma soeur c'était interposer et avait une lame en pleine ventre, elle tomba contre moi, un filet de sang coulait de son visage, de sa bouche, et je sentais son corps se glacer sous mes mains, son nom j'hurlais sans cesse mais rien, ses dernières paroles furent ...





" Grand frère ... j'ai mal, j'ai horriblement mal et peur ... "





Pilika fermit les yeux, ses yeux si beau si magnifiques NON ! Je refusais , la secouait, lui criant que sa devait être une blague qu'elle ouvrait les yeux mais rien, et lentement, le mur de glace fondut, le Mizukage rigola s'en étouffer et moi ? Je pleurais, toutes les larmes que mon âme rejetais de moi-même coulait inlassablement sur ma joue ... Il se retourna vers le Mizukage avec un regard emplie de haine ! Les yeux noirs ! Le Shokei Tor était réveillé en moi pour la première fois, la bague de Yu toujours sur le doigt de ma soeur défunte disparut et se mit sur mon majeur gauche de ma main, les deux bagues avaient une énergie considérable et derrière moi se trouvait un Chakra bleu clair et un autre blanc, Je marchais lentement, les larmes coulaient sur mes deux joues et mon bandeau Paches Aïnou couvrait la noirceur de mon regard ... Le Mizukage prit une peur bleu et ordonna qu'on m'attaque et la, s'en que je sache pourquoi, deux bras géant fessant la taille de mon père entourèrent mes deux bras , des bras en glace, celui de la femme et celui du mari avec comme puissance celle de Tor , le pouvoir de Tor était en moi ... Pour tous les détruire !
Les Shinobis de Kiri envoyèrent des kunaïs et Shurikens sur moi pensant m'arrêter mais une enveloppe de glace me protéger et toutes les armes se briser à se contact, les Shinobis foncèrent tous sur moi, mais je ne sais même pas comment, par instint et guider par les bagues certainement, la main droite, celle de la femme, les congela sur place et avec l'autre, la main du mari, celle de gauche, je sauta et brisa leur corps en mille miette, courant désormais sur le Mizukage , ma main gauche prit forme , se transformant en une lame de glace, puis trop tard ... Le Mizukage se retrouva au sol, le ventre transpercait comme se qu'il avait fait à ma soeur ... Mais bientôt, je serai un criminel très recherché ... Pour avoir tuer des ninjas de Kiri et le Mizukage en personne ... Prenant mes jambes à mon coups je me suis mis à courir sans me poser la question de savoir où aller ? comment se pouvoir été en moi ... Mais une chose est sur , j'étais un criminel et j'allais le resté car mon but désormais ...



" Je veux détruire tout les ninjas de se monde et les faires payé par la force de Tor ... "



Le destin du héros ...


La pluie coulait sur mon visage ... J'avais maintenant dix neuf ans, cela fessait deux ans depuis le massacre de Kiri comme certain disait, la polémique avait fait suite à un scandale mais finalementtout cela m'importait peu ... Je déambulais dans des rues sombres sous un pluie battante me rappelant étrangement celle de Kiri ... Un capuchon noir cacher mon visage, et loin, je vis une auberge, rentrant dedans tout les visages se tournèrent vers moi, je n'y prêta pas attention et demanda d'un voix froide et nochalant une bière glacer au gérant et m'installa au fond de l'auberge regardant la pluie frappait contre les parois vitreuses de l'endroit. Un vieux journal était mit dans une corbeille dans un coin vide, le gérant l'avait certainement oublier, je l'a ramassa me penchant un peu tout en fessant attention à se que mon capuchon noir ne tombe pas , le journal daté du mois dernier et en gros titre on pouvait lire


" Le massacre de Kiri, déjà deux ans ! "

" Cela fait maintenant deux ans depuis le massacre de Kiri ou l'ancien Mizukage fut tuer par un jeune homme Aïnou sous le nom de Horohoro Ûdo, la vie à reprit son cour mais la marque d'une tragédie planer toujours dans les esprits, ce jeune homme non Kirien à tuer toute sa tribu et même sa propre soeur et les Shinobis de kiri et le Mizukage en personne ! Il est toujours recherché car selon des témoignages, le criminel voulait avoir la puissance du village et rentrerer peut être à l'Akatsuki la plus grande organisation criminel du monde ! la tête du meurtrier présumer est de 150 000 000 ryos vivant ou mort mais le massacre est resté dans le coeur de tous , et la mort tragique de l'ancien Mizukage notre bon Mizukage comme disait les villageois ... "


S'en était trop ! J'ai déchirer cette revue et les jeter dans la corbeille violemment, les regards se sont tourner vers moi ... silencieux je suis resté, le gérant ma servit et je suis rester calme pensant à une phrase du journal, j'avais entendu parlais de l'Akatsuki s'en vraiment trop y prêter attention ... Pourquoi ne pas y rentrait ? Pour détruire le monde ninja ! Voila ma nouvelle guette trouver l'Akatsuki et y rentré ...
...


Pour ma tribu ...

Pour ma soeur ...

Pour ma vengeance ! ...









The end